S’il est parfaitement défini sur le plan mathématique, l’infini reste une notion difficile à appréhender sur un plan subjectif. En fonction du ressenti et de l’histoire de chacun, l’idée d’infini suscite une large palette d’émotions et de réactions, de la circonspection la plus totale jusqu’au vertige le plus profond. A ce titre, c’est une source d’inspiration, littéralement, infinie.
C’est avec cette idée en tête que les commissaires de l’exposition, Virginie Gannac, enseignante à l’École Boulle, et Jérôme Perez, professeur ENSTA Paris, ont proposé à des étudiants et étudiantes de l’École Boulle de se confronter à des concepts scientifiques mettant en jeu l’infini.
Fauteuils de velours profonds comme la nuit ou évoquant la théorie du multivers, méridienne à la topographie inspirée des trous noirs, dispositifs dessinant l’enveloppe des rayons lumineux réfractés sur une trame, luminaire intégrant la suite de Fibonacci, les propositions étonnent par leur créativité et leur radicalité.
Une co-production ENSTA Paris/École Boulle, avec la participation de l’Association des personnels ENSTA et de la société Hubler, à découvrir jusqu’au 27 mars dans le grand hall d’ENSTA Paris.
Se confronter à l'infini
Jusqu’au 27 mars, le grand hall d’ENSTA Paris accueille l’exposition « Se confronter à l’infini », laquelle met en valeur des interprétations du concept d’infini par des étudiantes et étudiants de l’École Boulle.